Ils disent : "les filles c'est compliqué, elles disent j'ai froid au lieu de dire peux-tu fermer la fenêtre."
Bandes de gros "mots-tellement-rouges-de-colère-que-je-ne-les-prononcerai-pas"...et vous?
Bandes de gros "mots-tellement-rouges-de-colère-que-je-ne-les-prononcerai-pas"...et vous?
Vous n'êtes pas compliqués?
Quand ça fait trois jours que vous lui demandez :
"Qu'est ce qui ne va pas?" et que vous vous heurtez à des "Rien".
Comprenez-vous en fait, il faut aller chercher sa pioche, sa pelle et CREEEEUSER !!
Et, quand enfin nous avons droit à un morceau d'explication, (oui, oui un morceau...non parce qu'il ne faudrait pas qu'en plus ils vous lachent tout !) et bien au final c'est nous qui ne comprenons rien.
Parce que vous avez posé LA mauvaise question, parce que vous avez beau réfléchir vous ne voyez toujours pas pourquoi ça ne va pas.
Limite d'un coup vous vous demandez si ce n'est pas vous qui êtes complètement débile (j'évite les gros gros mots).
Dans l'idéal il faudrait mettre en application ce que l'on nous enseigne dans les livres didactiques, oui mais...
Dans ces moments là on en n'a pas forcément envie.
Et puis il faut bien l'admettre on n'y pense pas forcément, c'est après...lorsqu'on est dans son coin à ruminer cette satané dispute, enfin "dispute", monologue serait plus approprié.
La dispute elle est interne, nous face à nous même; puisque l'Homme reste muet.
Allôôôôô !!
Quand ça fait trois jours que vous lui demandez :
"Qu'est ce qui ne va pas?" et que vous vous heurtez à des "Rien".
Comprenez-vous en fait, il faut aller chercher sa pioche, sa pelle et CREEEEUSER !!
Et, quand enfin nous avons droit à un morceau d'explication, (oui, oui un morceau...non parce qu'il ne faudrait pas qu'en plus ils vous lachent tout !) et bien au final c'est nous qui ne comprenons rien.
Parce que vous avez posé LA mauvaise question, parce que vous avez beau réfléchir vous ne voyez toujours pas pourquoi ça ne va pas.
Limite d'un coup vous vous demandez si ce n'est pas vous qui êtes complètement débile (j'évite les gros gros mots).
Dans l'idéal il faudrait mettre en application ce que l'on nous enseigne dans les livres didactiques, oui mais...
Dans ces moments là on en n'a pas forcément envie.
Et puis il faut bien l'admettre on n'y pense pas forcément, c'est après...lorsqu'on est dans son coin à ruminer cette satané dispute, enfin "dispute", monologue serait plus approprié.
La dispute elle est interne, nous face à nous même; puisque l'Homme reste muet.
Allôôôôô !!

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